Déterminer les risques si on ne suit pas la méthode HACCP

La méthode HACCP connaît un succès phénoménal sur le plan international, dans le cadre du contrôle de la sécurité alimentaire. Une technique qui vise à perfectionner la manutention des aliments avant et après leurs transformations. Cette méthode se pratique majoritairement au sein de l’Union européenne, malgré une forte présence mondiale.

Qu’est donc la méthode HACCP ?

On entend souvent parler de méthode HACCP lors des séminaires concernant la création d’entreprise. Et comme beaucoup peuvent s’en douter, cette méthode est tout simplement incontournable pour le bon fonctionnement d’une entreprise. Une manière efficace de se défaire des différents points négatifs, souvent rencontrés au niveau de la sécurité alimentaire.

Grâce à la méthode HACCP, il est plus facile pour chacun d’évaluer son niveau d’hygiène alimentaire, et d’évoluer en fonction. Ceci permet d’éliminer, de prévenir ou de réduire au maximum les dangers physiques, biologiques et chimiques. Et depuis 2012, certains établissements doivent désormais compter un nombre conséquent de personnels formés en termes d’hygiène alimentaire.

Qui est chargé de mettre en place la méthode HACCP ?

Tout le monde peut devenir expert en HACCP s’il le désire. Mais pour cela, il faut accepter de suivre différents cursus, et de présenter un certain niveau d’étude. Notamment, un diplôme de niveau V au minimum, avec une inscription à la RNCP. Toutefois, il vous faudra aussi détenir plus de trois mois d’expérience dans une entreprise traitant dans le secteur alimentaire.

Évidemment, votre certification devra être délivrée par une entité déclarée auprès du préfet de région. Un organisme qui suit le cahier des charges et le programme de formation à la lettre. Et non par un particulier ou une tierce personne travaillant dans le même secteur. Sans oublier qu’une formation digne de ce nom devra compter au moins deux heures, réparties en deux journées.

 

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